Hello,
comme je vous l'annonçait l'autre jour, voilà presque deux ans que le REVERS de la BALLE est sorti de l'imprimerie, grâce au soutien et à la confiance de ma Maison d'Editions ED2A...

Même si beaucoup, pour ne pas dire la majorité des personnes avec qui j'ai pu converser à l'issue de leur lecture, m'ont demandé de "reprendre ma plume", je ne vous cache pas que ce n'était pas l'envie qui me manquait. Mais l'envie peut-elle tout permettre ?

Il faut "oser" dans la vie, certes, pour ne rien regretter, mais dans certains domaines, comme celui de l'écriture, j'ai découvert que la "pression" est un facteur "limitant". Je pense qu'il est "facile" d'écrire quelques lignes et de les mettre bout à bout pour en faire un roman. Mais quand on veut faire partager ses émotions, son envie, sa passion, faire naitre de l'émotion, ces lignes doivent parfaitement se fusionner, s'emmêler, se conjuguer... cette tâche est de fait moins "facile".

Alors on écrit, on se relit, on modifie, on ajoute, on retranche quelques mots, quelques lignes pour tenter de bien addtionner les chapitres, mais toujours avec cette "épée de Damoclès" au-dessus de la tête qui nous dit : "il faudra faire aussi bien, sinon mieux !"